Le milieu extérieur, tu ne le choisis pas.
Illusion que de croire que tu conduis tes pas,
Bien obligé d'aller où tu peux, où tu dois,
Epargne-toi le rêve que tu aurais le choix !
Regarde où vont tes pieds et comme tu les suis bien !
Tu t'imagines les choix qui auraient été tiens,
Et tu choisis sans peur l'espoir le plus trompeur.
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