vendredi 3 août 2012
samedi 23 juin 2012
jeudi 21 juin 2012
lundi 18 juin 2012
mercredi 13 juin 2012
mardi 12 juin 2012
mercredi 30 mai 2012
Double acrostiche sur ENFANTS
Enfant bleu, enfant rose, nés dans un chou, une rose...
Niaiseries forcément jusqu'au cœur d'une maman...
Faut expliquer Titeuf : À quoi ça sert une meuf ?
Avec l'âge, on donna des "Tomtom et Nana"...
Nous n'avons jamais craint les grosses baudruches en crin,
Tant on était conscient de n'pas être omniscient,
Saoulé des sots qui sont si sûrs de leurs chansons...
Niaiseries forcément jusqu'au cœur d'une maman...
Faut expliquer Titeuf : À quoi ça sert une meuf ?
Avec l'âge, on donna des "Tomtom et Nana"...
Nous n'avons jamais craint les grosses baudruches en crin,
Tant on était conscient de n'pas être omniscient,
Saoulé des sots qui sont si sûrs de leurs chansons...
samedi 26 mai 2012
Acrostiche antibiotique 1
Alexander Fleming, en 1928,
Nous donna, grand merci, la bonne pénicilline. Tout s'enchaîna très vite et on connaît la suite : Il y eut plus de 10 000 molécules féminines Basées sur ce principe : les antibiotiques ! Ils tuaient les bactéries, méchantes, qui infectaient, Offensaient l'organisme des troupes patriotiques... Tiens, oui, c'est à la guerre, aux troupes qu'elle affectait, Il faut le dire, qu'on doit, l'effort de production... Quand, soudain, on a vu que nos chères bactéries Universellement trouvaient des protections, En silence, les labos ont rangé l'artillerie, Se tournant vers des jeux moins risqués et piégeux... |
mercredi 16 mai 2012
Folies du Sofitel
Fichue femme de ménage, qui m'a bien fait du mal !
On l'a vu attaquer mon bel orgueil de mâle,
Le blessant, me causant d'importants préjudices...
Il est vrai qu'à cause d'elle, des opportunités
Echappèrent à mes mains, et son impunité
Serait assurément une affreuse injustice !
(DSK-ND)
On l'a vu attaquer mon bel orgueil de mâle,
Le blessant, me causant d'importants préjudices...
Il est vrai qu'à cause d'elle, des opportunités
Echappèrent à mes mains, et son impunité
Serait assurément une affreuse injustice !
(DSK-ND)
mardi 15 mai 2012
Folies 11-12…
Faut maigrir, être fort, être beau, être belle,
Orner nos chairs fragiles de bons piercings rebelles...
Les injonctions diverses que les médias nous bêlent
Infusent en nos esprits, et remplissent nos poubelles,
Enrichissant nos vies, en cette tour de Babel,
Saoulés de mille produits et de vains décibels...
Faut bien mourir un jour, mais le plus tard possible :
On va te prolonger, légume, puis minéral...
Les moribonds sont là, par millions, impassibles,
Immobiles, silencieux, sauf peut-être des râles...
Enfin, viendra le jour de les bien surgeler.
Seul le compteur vivra dans l'atmosphère gelée...
Orner nos chairs fragiles de bons piercings rebelles...
Les injonctions diverses que les médias nous bêlent
Infusent en nos esprits, et remplissent nos poubelles,
Enrichissant nos vies, en cette tour de Babel,
Saoulés de mille produits et de vains décibels...
Faut bien mourir un jour, mais le plus tard possible :
On va te prolonger, légume, puis minéral...
Les moribonds sont là, par millions, impassibles,
Immobiles, silencieux, sauf peut-être des râles...
Enfin, viendra le jour de les bien surgeler.
Seul le compteur vivra dans l'atmosphère gelée...
lundi 14 mai 2012
jeudi 10 mai 2012
mercredi 9 mai 2012
3 Folie
Faudrait plus imprimer de papier, car c'est mal !
On ne doit plus manger de porc ou d'animal...
Le résultat bientôt ne se fait pas attendre :
Ils prennent le dernier arbre et s'en servent pour pendre
Enfin le dernier porc, qui n'est d'aucun rapport...
Fils de fer et cartons, tôle ondulée et planches,
On sait aménager son logis provisoire...
Les taudis tout autour de la belle église blanche
Illustrent la survie ou la vie dérisoires
Echues aux êtres humains chassés de nos chemins...
Fatigants, les pourceaux qui se lèchent les doigts !
Ornant leurs mains de bagues, de colliers leurs cous niais,
Les voilà minaudant, la Rolex au poignet...
Ils s'en vont défilant comme un beau troupeau d'oies,
Ecrasant les manants... puants, comme il se doit.
On ne doit plus manger de porc ou d'animal...
Le résultat bientôt ne se fait pas attendre :
Ils prennent le dernier arbre et s'en servent pour pendre
Enfin le dernier porc, qui n'est d'aucun rapport...
Fils de fer et cartons, tôle ondulée et planches,
On sait aménager son logis provisoire...
Les taudis tout autour de la belle église blanche
Illustrent la survie ou la vie dérisoires
Echues aux êtres humains chassés de nos chemins...
Fatigants, les pourceaux qui se lèchent les doigts !
Ornant leurs mains de bagues, de colliers leurs cous niais,
Les voilà minaudant, la Rolex au poignet...
Ils s'en vont défilant comme un beau troupeau d'oies,
Ecrasant les manants... puants, comme il se doit.
lundi 7 mai 2012
Je suis le Jura…
Je suis la fille qui n'a pas d'autre choix pour vivre…
Un moment, viens donc jouir, dans mes bras qui se livrent !
Regarde dans mes yeux, sous l'épais mascara :
Ah oui, c'est vrai, j'oublie… Moi, je suis le Jura…
Un moment, viens donc jouir, dans mes bras qui se livrent !
Regarde dans mes yeux, sous l'épais mascara :
Ah oui, c'est vrai, j'oublie… Moi, je suis le Jura…
dimanche 6 mai 2012
Folie folie
Femme, noire, handicapée, j'ai vraiment tous les vices !
On me l'a fait comprendre, en me serrant les vis…
Lesbienne, si je le suis, ça mérite l'échafaud ?
Il en est dans la vie qui ont vraiment tout faux
Et ils vont en enfer, dès qu'ils meurent dans les fers.
Faut souffler à chaque pas, souffrir à chaque trépas,
Oublier les absents, trop vidés de leur sang…
La plupart des absences sont vidées de leur sens.
Inutile d'espérer qu'on va récupérer :
Enfer et paradis sont là pour nous leurrer.
On me l'a fait comprendre, en me serrant les vis…
Lesbienne, si je le suis, ça mérite l'échafaud ?
Il en est dans la vie qui ont vraiment tout faux
Et ils vont en enfer, dès qu'ils meurent dans les fers.
Faut souffler à chaque pas, souffrir à chaque trépas,
Oublier les absents, trop vidés de leur sang…
La plupart des absences sont vidées de leur sens.
Inutile d'espérer qu'on va récupérer :
Enfer et paradis sont là pour nous leurrer.
vendredi 4 mai 2012
mercredi 2 mai 2012
Liberté 1
Le milieu extérieur, tu ne le choisis pas.
Illusion que de croire que tu conduis tes pas,
Bien obligé d'aller où tu peux, où tu dois,
Epargne-toi le rêve que tu aurais le choix !
Regarde où vont tes pieds et comme tu les suis bien !
Tu t'imagines les choix qui auraient été tiens,
Et tu choisis sans peur l'espoir le plus trompeur.
Illusion que de croire que tu conduis tes pas,
Bien obligé d'aller où tu peux, où tu dois,
Epargne-toi le rêve que tu aurais le choix !
Regarde où vont tes pieds et comme tu les suis bien !
Tu t'imagines les choix qui auraient été tiens,
Et tu choisis sans peur l'espoir le plus trompeur.
mardi 1 mai 2012
mercredi 18 avril 2012
mardi 17 avril 2012
lundi 16 avril 2012
dimanche 15 avril 2012
samedi 14 avril 2012
vendredi 13 avril 2012
Nicolas Sarkozy est juif…
Nicolas Sarkozy est juif ou musulman
Ou païen, m'a-t-on dit au café du commerce…
Un quidam m'a montré des photos, mais il ment.
Vous croyez ce qu'il dit ? La rumeur est perverse.
Elle se répand en vous et vous la répétez.
Les mots vont s'accrocher dans vos crânes hébétés,
Libérant leur poison sur vos langues enchaînées
Et des oreilles avides seront vite gangrénées,
Si bien que tout est dit, souvent sans nul crédit…
Ou païen, m'a-t-on dit au café du commerce…
Un quidam m'a montré des photos, mais il ment.
Vous croyez ce qu'il dit ? La rumeur est perverse.
Elle se répand en vous et vous la répétez.
Les mots vont s'accrocher dans vos crânes hébétés,
Libérant leur poison sur vos langues enchaînées
Et des oreilles avides seront vite gangrénées,
Si bien que tout est dit, souvent sans nul crédit…
jeudi 12 avril 2012
mardi 10 avril 2012
lundi 9 avril 2012
samedi 7 avril 2012
Aug…mentation
Alors, là, on peut dire que vous tombez bien mal !
Une conjoncture mauvaise, nous avons traversé… Gros 4x4 BMW, à puissance nominale Minimum trois cent dix chevaux à exercer, Et ma femme a voulu une robe de chez Dior… N'oubliant pas son père, qui est notre actionnaire, Tout pour lui faire plaisir, repas discrétionnaires, Au Ritz, au Grand Véfour… Mon salaire s'améliore Tandis que vous, pardon, cette année, impossible ! Il faudra que je pense à rester impassible Ou, si j'éclate de rire, en disant la nouvelle, Nul ne voudra plus boire mes promesses de pourboire… |
jeudi 5 avril 2012
mercredi 4 avril 2012
mardi 3 avril 2012
lundi 2 avril 2012
dimanche 1 avril 2012
samedi 31 mars 2012
vendredi 30 mars 2012
jeudi 29 mars 2012
SORCELLERIE
Soit un crapaud châtré, dont vous prenez le foie,
Otez-lui la cervelle et la langue à la fois. Réduisez le mélange dans un chaudron d’étain. Cassez quelques fémurs de chauve-souris d’étable, Et mêlez les débris à la soupe qui déteint. L’odeur doit être forte, mais pas épouvantable. La mixture doit sécher en deux ou trois quarts d’heure, Et devenir craquante en attirant les mouches. Râpez des araignées, avec beaucoup d’ardeur. Il faut enfin le sang d'un gros chien noir qui louche, Et grâce à cette potion, envolées, vos rondeurs! |
mercredi 28 mars 2012
mardi 27 mars 2012
lundi 26 mars 2012
dimanche 25 mars 2012
samedi 24 mars 2012
ARMES 12
A la fillette vietcong brûlée par le napalm,
Rendons ici hommage… Mais, non, rien n'a changé.
Même si les incendiaires n'ont pas reçu de palmes,
En masse, on continue à produire du danger,
Sans penser aux enfants, crevés en étouffant…
Avec de quoi tuer, exploser sa famille,
Regardez ce butor qui voudrait un docteur !
Mille chars sont arrivés, avec leurs belles chenilles,
Et le bouseux déplore qu'il n'ait pas un tracteur !
Sous ces viles lattitudes, où est la gratitude ?
Rendons ici hommage… Mais, non, rien n'a changé.
Même si les incendiaires n'ont pas reçu de palmes,
En masse, on continue à produire du danger,
Sans penser aux enfants, crevés en étouffant…
Avec de quoi tuer, exploser sa famille,
Regardez ce butor qui voudrait un docteur !
Mille chars sont arrivés, avec leurs belles chenilles,
Et le bouseux déplore qu'il n'ait pas un tracteur !
Sous ces viles lattitudes, où est la gratitude ?
vendredi 23 mars 2012
jeudi 22 mars 2012
mercredi 21 mars 2012
ARMES
Alors qu'un foldingo devient juge et bourreau,
Ravi de tuer enfants, parents ou militaires,
Mille voix en concert s'élèvent sur la Terre
Et c'est pour déplorer… Qu'il remette au fourreau,
Son engin meurtrier et son goût pour “trier” !
A cette noire folie, pourtant si habituelle,
Répondons autrement qu'avec nos seuls mouchoirs,
Mettons sur pied un plan, que la folie des duels
Et des bonnes boucheries, qui vont bien nous échoir,
Soient rendues difficiles par l'absence de “missiles” !
Avec le doigt de Dieu, dans un objet qui tue,
Regardez tous les fous qui font les faits divers !
Maîtrisant leur joujou, ils possèdent l'univers,
En jugeant, condamnant, dans leurs esprits obtus,
Sans guère laisser de chance à leurs cibles qui pensent…
Ravi de tuer enfants, parents ou militaires,
Mille voix en concert s'élèvent sur la Terre
Et c'est pour déplorer… Qu'il remette au fourreau,
Son engin meurtrier et son goût pour “trier” !
A cette noire folie, pourtant si habituelle,
Répondons autrement qu'avec nos seuls mouchoirs,
Mettons sur pied un plan, que la folie des duels
Et des bonnes boucheries, qui vont bien nous échoir,
Soient rendues difficiles par l'absence de “missiles” !
Avec le doigt de Dieu, dans un objet qui tue,
Regardez tous les fous qui font les faits divers !
Maîtrisant leur joujou, ils possèdent l'univers,
En jugeant, condamnant, dans leurs esprits obtus,
Sans guère laisser de chance à leurs cibles qui pensent…
mardi 20 mars 2012
lundi 19 mars 2012
dimanche 18 mars 2012
samedi 17 mars 2012
vendredi 16 mars 2012
jeudi 15 mars 2012
PROSTITUTION
Peut-être si ta fille te disait "Je suis pute",
Reviendrais-tu un peu sur tes goûts trop faciles ?
Ou si ta mère, ta sœur, après quelque dispute,
Se voyaient obligées, par un destin hostile,
Toutes les deux, de lever la cuisse et puis la fesse ?
Il serait moins tranché ton jugement spécieux...
Tu te demanderais dans quel monde on professe
Un mépris pour l'humain, alors que dans les cieux,
Tout est censé prêter une valeur à la vie ?
Il est beau l'univers où l'argent toujours bruisse,
Ouvrant les portes aux uns et pour d'autres les cuisses,
Nourries par leurs organes toujours plus asservis...
Reviendrais-tu un peu sur tes goûts trop faciles ?
Ou si ta mère, ta sœur, après quelque dispute,
Se voyaient obligées, par un destin hostile,
Toutes les deux, de lever la cuisse et puis la fesse ?
Il serait moins tranché ton jugement spécieux...
Tu te demanderais dans quel monde on professe
Un mépris pour l'humain, alors que dans les cieux,
Tout est censé prêter une valeur à la vie ?
Il est beau l'univers où l'argent toujours bruisse,
Ouvrant les portes aux uns et pour d'autres les cuisses,
Nourries par leurs organes toujours plus asservis...
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mardi 13 mars 2012
lundi 12 mars 2012
CORPS
Cesium et nicotine, alcools, sucré, salé,
On lui fait absorber tout et même si ça pue,
Rien que pour le plaisir de goûter, d’avaler,
Pour la joie de s’emplir, de se sentir repu…
Souffre-douleur de l’âme, et en plus on te blâme !
dimanche 11 mars 2012
JE
Je suis con… tant de moi, que de l’autre, en dedans,
Et l’Inconscient rigole, caché derrière mes dents !
Et l’Inconscient rigole, caché derrière mes dents !
TABAGISME
Tu peux toujours tousser, tu vas mourir quand même…
Avec l’assentiment du bon gouvernement,
Beaucoup d’argent se gagne et c’est ce que l'on aime.
Allons, on peut tout dire : eh bien, personne ne ment :
Gentiment, sur les boîtes, c’est marqué “Fumer tue”.
Il n’est rien de plus clair, sauf si l’on est obtu.
Silence, donc, dans les rangs des légions cancéreuses !
Mords-toi les doigts jaunis de tes mœurs onéreuses,
Et ferme ton clapet pour reposer en paix !
vendredi 9 mars 2012
Bonjour, voici mon blog, et moi, c’est Beck Versor,
Et ce nom m’est venu comme le premier vers sort,
Courant devant les autres, qui coulent hors de mon bec,
Kilomètres de mots, serrés comme des Ouzbeks,
Venus du fond des steppes de mes neurones hagards…
En mauvais éléments, ils cherchent la bagarre,
Rétifs à tout dressage, exprimant leurs dégoûts,
Sans craindre d’offenser les nobles rats d’égout.
Offrez à pupille des vers point trop polis,
Répandant leurs humeurs sur l’écran en folie…
Et ce nom m’est venu comme le premier vers sort,
Courant devant les autres, qui coulent hors de mon bec,
Kilomètres de mots, serrés comme des Ouzbeks,
Venus du fond des steppes de mes neurones hagards…
En mauvais éléments, ils cherchent la bagarre,
Rétifs à tout dressage, exprimant leurs dégoûts,
Sans craindre d’offenser les nobles rats d’égout.
Offrez à pupille des vers point trop polis,
Répandant leurs humeurs sur l’écran en folie…
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